Les coups tordus de la recherche en médecine (2) : de la « mémoire de l’eau » à la biologie numérique de Jacques Benveniste

Les méthodes de neutralisation

La même méthode consistant à neutraliser une voie de recherche originale en dermatologie en 1978 (1) prouvant une réaction immuno-allergique avec l’haptène nicotine à l’origine de la dermite soi-disant séborrhéique a été utilisée dix ans plus tard en 1988 (2) par l’éditeur conservateur de la revue Nature John Maddox pour empêcher impérativement une nouvelle voie de recherche originale initiée par les travaux de Jacques Benveniste (3), la biologie numérique.

En effet, Jacques Benveniste démontrait avec son test de dégranulation des basophiles humains l’existence d’une réaction cellulaire en l’absence de molécules ce qui était « incroyable » (4) pour les « scientifiques » conservateurs.

Ceux-ci ont montré depuis cette date leur totale incapacité à faire un progrès quelconque avec « leur biologie moléculaire », paradoxe étonnant mais logique.

Le ridicule de cette tendance obscurantiste a atteint son paroxysme avec la production d’un vaccin anti-H1N1 sans pandémie et le fiasco de la production de 94 millions de doses inutiles de ce même vaccin en France ! (5)

De Pracontal et la « Mémoire de l’eau »: n’est pas devin qui veut

Michel de Pracontal s’était risqué à cette époque en publiant un livre (6) qui fait sourire plus de deux décennies après la publication des travaux de Jacques Benveniste: dans l’épilogue de son livre, de Pracontal se risque au scénario du succès d’un « vaccin homéopathique contre la grippe » après une étude en « double aveugle » par les laboratoires Boiron…en 2021 (page 223). Il ne fallait pas aller aussi loin car en 2010, la science officielle nous produisait un vaccin anti-H1N1 sans pandémie et évidemment sans étude en double aveugle contre placebo…On rigole et encore plus en relisant ce livre qui se fondait sur les témoignages de « chercheurs » dont Jacques Benveniste précisait l’incapacité totale à travailler « à la paillasse »: « la recherche ne s’improvise pas sur deux tréteaux place de la Concorde ».
 
A la même page, de Pracontal en rajoute avec « la revue Science et progrès qui publie un volumineux dossier intitulé « La vérité sur le lobby homéopathique ».
 
On peut voir ainsi le glissement sémantique concernant la misérable revue « Science et vie » qui s’était acharnée contre Jacques Benveniste devenu dans l’imagination de de Pracontal « Science et progrès »: chacun aura le loisir de constater les « progrès de la science » depuis plus de deux décennies: les résultats sont nuls en médecine et le lobby allopathique a montré toutes ses hautes capacités à imposer des médicaments aux effets secondaires impressionnants !
 

La Société du Spectacle

 
Nous avons ainsi en quelques lignes la confirmation parfaite d’une thèse de Guy Debord dans son livre la Société du Spectacle (thèse 9):
 
« Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux »
 
Le discrédit escompté visait à empêcher la chute des ventes de dermo-corticoïdes dans le premier cas (B. Sudan) et à maintenir coûte que coûte la même recherche en biologie moléculaire sans envisager une autre solution pour ne pas ruiner l’industrie pharmaceutique dans le second cas (J. Benveniste).
 

Les scandales depuis 1988

 
Depuis 1988, nous avons accumulé les catastrophes médicales avec les scandales du Vioxx et des Coxibs, du Médiator,  les 15000 décès pendant la canicule de 2003 avec un ministre de la santé absent, le vaccin anti-H1N1 pour sauver l’industrie pharmaceutique en perdition sans oublier la cartographie du génôme humain par des polytechniciens qui devait tout résoudre et qui n’a rien résolu puisque la mortalité par cancer est toujours la même depuis bien longtemps. Il ne faut surtout pas oublier les conflits d’intérêt et l’influence néfaste de l’industrie du tabac et de l’industrie pharmaceutique pour imposer sa loi (7).
 
La médecine et la maladie sont devenues des marchandises montrant ainsi le peu d’intérêt pour les patients que nous prouvent ceux qui veulent régimenter la recherche afin de stagner éternellement et prolonger les traitements aussi longtemps que possible pour faire de l’argent.
 

Sang contaminé et hormone de croissance

 
Les scandales du sang contaminé et de l’hormone de croissance montrèrent aussi que le système peut se permettre n’importe quoi sans être importuné, précisément au moment des travaux de Jacques Benveniste.
 
Voilà la triste réalité: aussi, je vais démontrer qui avait intérêt à bloquer les travaux de Jacques Benveniste ouvrant une nouvelle voie de recherche originale: la biologie numérique ou la communication cellulaire par basses fréquences, permettant d’entrevoir une autre possibilité thérapeutique par des traitements peu coûteux et rendant ainsi obsolète tous les traitements lourds, coûteux et ridicules actuels.
 
L’homéopathie est tout à fait secondaire car il ne s’agit pas d’un problème moléculaire (absence de molécules au delà du nombre d’Avogadro) mais bien de la communication cellulaire par basses fréquences, mes derniers travaux avec des solutions salées en utilisant le pain dermatologique Massada contre la dermite séborrhéique, le psoriasis et d’autres maladies de la peau viennent le prouver très facilement ce qui provoque le désarroi des obscuratistes qui se sont fatigués à maintenir des « solutions » compliquées (8).

Les études en double aveugle contre placebo: une illusion et un phantasme de la bande Maddox, Steward et Randi

 
Aucune étude en biologie n’est reproductible à 100% et pour preuve nous avons les exemples malheureux des Vioxx, Mediator et autres pseudo-médicaments de l’industrite pharmaceutique vendus sans problème avec la connivence entre les politiques et l’industrie pharmaceutique et évidemment sans étude en double aveugle contre placebo.
 
Dès février 1989, je ridiculisais les « scientifiques » qui calmoniaient Jacques Benveniste en lui demandant des études en double aveugle contre placebo. En effet, ces pauvres chercheurs voulaient promouvoir les patchs contenant de la nicotine pour arrêter de fumer et donc favoriser la vente par Ciba de ces patchs.
 
Ils publièrent alors dans la revue britannique the Lancet (9) une étude en simple aveugle contre un placebo qui contenait un mg de nicotine.
 
Ma réponse dans la revue The Lancet en février 1989 (10) les a ridiculisé puisqu’un placebo ne contient aucun principe actif et ainsi les détracteurs de Jacques Benveniste venaient de montrer leur manque d’argumentation six mois seulement après la publication de Nature (2).
 
Tous les tests biologiques ne sont donc pas reproductibles à cause de l’environnement, électromagnétique entre autres. Inutile de préciser qu’aucun de ces « chercheurs » n’a ensuite fait référence à ma réponse du Lancet !
 
Je tiens à préciser que le seul fait de tenir en main un tube peut modifier le contenu électromagnétique de ce même tube, donc empêche toute réplication possible, ce qui est un peu difficile pour les Metzger ou Hirst.
 

Les « brillants » résultats du système de recherche publique ou privée depuis les travaux de Jacques Benveniste: Téléthon et Généthon.

 
Une coïncidence incroyable voulait que le Téléthon soit créé en 1987 soit une année avant la publication des travaux de Jacques Benveniste en 1988.
 
Il fallait donc impérativement ne pas laisser le chemin libre à une science innovante, la biologie numérique de Jacques Benveniste et pour cette raison, nous retrouvons tous les adversaires de cette nouvelle voie de recherche dans les multiples tentatives de récoltes de fonds pour la biologie moléculaire avec les Téléthons et autres mascarades pour enfumer la population.
 
Le décryptage du génome humain devait tout résoudre et évidemment n’a rien résolu: toute cette recherche occupe des dizaines de milliers de « chercheurs » dans une seule direction pour la solution la plus compliquée et la plus coûteuse contre des maladies rares en oubliant les pathologies de masse comme le cancer et les allergies, sans oublier les maladies de la peau.
Pour montrer les liens entre industrie pharmaceutique et « recherche » de la biologie moléculaire, il suffit de parcourir le site du Généthon
 
 
et de voir les initiateurs de cette recherche avec le Genopole ( 23 octobre 1998 : lancement de Genopole Jacques Guyard, Dominique Strauss-Kahn, Jean-Paul Huchon, Claude Allègre:
 
 

La recherche innovante

 
La blocage systématique de toute recherche innovante: l’exemple de Bruno Robert, dernier directeur de recherche de Jacques Benveniste et de Luc Montagnier, lauréat Nobel de Médecine, émigré en Chine pour pouvoir chercher librement, un paradoxe !
 
Pendant les années 90 et 2000, certains politiques se gaussaient contre la pensée unique en bloquant systématiquement tous les travaux innovants. On se souvient de Jacques Chirac confiant des missions à Georges Charpak.
On voit ainsi le double langage qui consiste à faire le contraire de ce que l’on dit devant les caméras de télévisions.
 
On se souvient de la brève apparition de Bruno Robert, dernier directeur de recherche de Jacques Benveniste dans un article du JDD (http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Sida-Guerre-secrete-pour-le-brevet-du-siecle-76903)  pour évoquer ses derniers travaux en biologie numérique et la censure a posteriori de Wikipédia pour occulter la réalité de cette recherche innovante.
 
De son côté, Luc Montagnier qui disputait à Bruno Robert la paternité d’un brevet devait annoncer son exil en Chine…, »patrie des droits de l’homme »…pour chercher librement: un monde à l’envers
 
 
De toute façon, ces conflits prouvent que la bataille est intense dans les coulisses de ce monde qui a tout bloqué pendant plusieurs décennies et que rien ne pourra arrêter ce changement de paradigme: voir une des dernières publications de L. Montagnier et collègues (11).
 
Je tiens à préciser que de tels conflits pour la paternité d’un quelconque brevet ne servent à rien car les futurs traitements risquent de ne rien coûter (exemple concret: les sels de la Mer Morte en dermatologie).
 

Les conflits d’intérêts des « chercheurs » impliqués contre les travaux de Jacques Benveniste: Georges Charpak (PME) et Jean-Marie Lehn (Ciba et Novartis)

 
Pour quelles raisons les travaux de Jacques Benveniste pouvaient-ils déranger le physicien Georges Charpak, lauréat Nobel de physique ? On trouve la réponse dans le numéro de « L’Entreprise » de juillet/août 1998 (154, 52-53) où le physicien nous explique comment il est passé du Nobel à la PME en « se lançant dans la fabrication d’appareils offrant des perspectives spectaculaires en matière d’imagerie médicale » comme le relate le mensuel.
 

Le business du cancer

 
Evidemment pour développer un tel matériel il faut absolument des patients atteints de cancers et d’autres pathologies lourdes. Le cancer est ainsi un business fort lucratif car une fois le diagnostic précisé, ce sont ensuite les traitements anti-cancéreux et la chirurgie qui nécessitent beaucoup de « travail » ! On ne scie pas facilement la branche sur laquelle on se trouve.
 

Jean-Marie Lehn à Ciba, Bâle

 
Quant à Jean-Marie Lehn, lauréat Nobel de Chimie 1987, on peut très bien comprendre son trouble qu’il évoquait dans le quotidien Le Monde lors de la publication des travaux de Jacques Benveniste en 1988 (Le Monde, 30 juin 1988).
 
Les chimistes voyaient également d’un mauvais oeil un perturbateur du style de Jacques Benveniste puisqu’un changement de paradigme s’annonçait et les intérêts de l’industrie chimique et pharmaceutique étaient menacés, pour preuve simple et définitive, il suffit de constater que Jean-Marie Lehn était membre du conseil d’administration de Ciba à Bâle au début des années 90, alors présidé par Alex Krauer et ensuite membre d’une fondation de Novartis après la fusion Ciba et Sandoz en 1996…(Novartis Foundation for Sustainable Development) :
 
 
En conclusion, vouloir chercher et trouver une autre solution beaucoup plus simple à l’étiologie des cancers par exemple peut donc nuire à un tel business. On peut lire la longue liste des savants maudits et chercheurs exclus, livres de Pierre Lance (12,13,14) qui résument fort bien ce dossier des découvertes interdites dans ses trois volumes.
Un jour ou l’autre nous finissons toujours par trouver les causes à de tels comportements.
 

Les perles de ceux qui ne voulaient pas voir une nouvelle voie de recherche

 
Il suffit de regarder certaines émissions consacrées à l’affaire dite de la « mémoire de l’eau » et notamment une émission de la BBC intitulée « Heretics » en juillet 1994 pour entendre les perles des détracteurs de Jacques Benveniste.
 
Tout d’abord, on ne peut plus voir ces vidéos sur Internet…( par contre j’ai eu la chance de chercher dans mes archives et de trouver un exemplaire de la vidéo…et alors les surprises ne manquent deux décennies plus tard). On comprend mieux pourquoi certains n’ont pas intérêt à ressortir des archives.
 

Les conservateurs de l’Institut Pasteur

 
En effet, alors que Jacques Benveniste nous décrit ses nouvelles expériences en étant lui-même à la manip…(trop compliquées pour les bureaucrates de la recherche), on voit deux de ses détracteurs, l’un du Collège de France et de l’Académie des « Sciences » (Marcel Schutzenberger) et l’autre de l’Institut Pasteur (Gabriel Gachelin) bafouiller n’importe quoi pour invalider les résultats de Jacques Benveniste sans aucune argumentation scientifique réelle.
 
Le plus comique était certainement Marcel Schutzenberger avec une cigarette aux doigts pour lequel la fumée de tabac ne provoquait rien et surtout pas l’haptène nicotine, qui en était resté à la « Mémoire de l’eau » et qui n’aurait jamais pu envisager la biologie numérique avec un effet biologique sans molécule.
 
Quant à Gabriel Gachelin de l’Institut Pasteur, il a montré ses réels capacités en oubliant de parler de ses propres travaux qui ne laisseront aucune trace.
 

Les temples du conservatisme

 

Les deux temples du conservatisme, le Collège de France avec l’Académie des Sciences et l’Institut Pasteur ont montré leur réelle capacité d’innovation avec l’un de leur collègue, le « professeur » Claude Hanoun de l’Institut Pasteur, qui conseillait à toute la France de se faire vacciner contre le virus H1N1 en direct au journal télévisé du docile David Pujadas alors qu’il n’y avait aucune pandémie !

Au fait, il y avait un vaccin de Sanofi-Pasteur (conflit d’intérêts) sans oublier un autre de Novartis, pour remonter un peu les ventes de ces deux entreprises (5).

Le conservatisme de l’INSERM et du CNRS

 

Le dirigisme de l’INSERM, du CNRS et autres organismes d’Etat: mise à l’écart de Jacques Benveniste, directeur de recherche à l’INSERM et blocage de carrière pendant 10 ans de Annie Thébaud-Mony, directrice de recherche honoraire à l’INSERM.

 
 
La direction de l’INSERM a montré un zèle particulier à bloquer les travaux du chercheur Jacques Benveniste, alors directeur de recherches de l’Unité 200 à Clamart.
 
C’est un paradoxe incroyable car n’importe quel citoyen est en attente d’une liberté de recherche des chercheurs dans une société qui se dit démocratique.
 
Les récents développements concernant le refus de recevoir la Légion d’Honneur par Annie Thébaud-Mony, directrice de recherche honoraire à l’INSERM et dont la carrière a été bloquée pendant 10 ans démontrent fort bien l’influence de certains milieux et les liens entre les politiques et les industriels.
 

Le scandale de l’amiante

 
On comprend mieux aussi pourquoi le dossier de l’amiante, cancérigène connu depuis l’année 1906 en France alors que Denis Auribault, inspecteur départemental du travail à Caen publiait une note dénonçant la forte mortalité des ouvriers dans les filatures et dans les usines de tissage d’amiante (http://fr.wikipedia.org/wiki/Amiante).
 
Au Royaume-Uni,  Lucy Deane décrivait ces effets concérogènes dès l’année 1898.
On comprend ainsi pourquoi ces vrais chercheurs ont eu tellement de difficultés à faire entendre leur voix (Annie Thébaud-Mony) et leur voie de recherche (Jacques Benveniste).
 
Les intérêts de l’industrie pharmaceutique: ne pas troubler les ventes de médicaments aux effets secondaires importants avec le soutien tacite et actif de l’Afssaps.
 
La récente affaire du Médiator est le dernier exemple montrant les difficultés des médecins intègres (Irène Frachon) tentant de faire entendre leurs observations et découvertes concernant les effets secondaires des médicaments.
 
L’Afssaps a montré durant toutes ces années son véritable rôle avec de nombreux conflits d’intérêts entre ses membres et l’industrie pharmaceutique: business is business, au détriment des patients.
 

Les avertissements d’Henri Pradal

 
On peut aussi préciser qu’Henri Pradal, médecin et auteur du Dictionnaire critique des médicaments, édition 1977-1978, soulignait déjà la proximité des formules du Mediator et du Pondéral, et son absence d’efficacité attendue.
A l’époque Henri Pradal passait pour quelqu’un de dérangeant.
 
J’ai vu récemment une personne atteinte d’une dermatite faciale sévère se faire prescrire par un dermatologue 8 tubes… de bétaméthasone (Diprosone) sans chercher une étiologie précise par des tests allergologiques et prescrire un mois plus tard à nouveau le même nombre de tubes !
A croire que ce dermatologue aura une « formation continue » au cours d’une croisière financée par le laboratoire pharmaceutique. On peut légitimement se poser des questions.
 

Les intérêts de l’industrie homéopathique: ne pas troubler les ventes de produits homéopathiques et surtout éviter la recherche en biologie numérique.

 
Jacques Benveniste avait écrit à des centaines d’homéopathes pour avoir leur soutien moral et financier. Il n’eut aucune réponse.
On peut facilement comprendre pourquoi car résoudre l’énigme des dilutions homéopathiques, activité biologique sans molécule par basses fréquences spécifiques des molécules, engendrerait aussi la ruine de l’industrie homéopathique.
 
 
Le bonheur de toute la chaîne est assuré: les médecins qui prescrivent, les pharmaciens qui délivrent ces médicaments aussi bien allopathiques qu’homéopathiques sans oublier tous les laboratoires pharmaceutiques et homéopathiques pour se partager le gâteau. La biologie numérique de Jacques Benveniste n’est ainsi pas la bienvenue dans les deux camps… mais cela va changer !
 

Conclusion à l’attention des patients

 
L’enseignement de ce que nous vivons depuis plusieurs décennies aussi bien dans le domaine de la recherche qui est orientée selon les désirs de certaines personnes mal intentionnées que dans le domaine de la médecine et de ses traitements archaïques  nous prouve bien que seule la population est en mesure de s’adapter et de réagir par rapport à ces situations.
 
Il ne faut surtout pas chercher un traitement simple et peu coûteux et même gratuit mais au contraire faire durer la maladie pour en tirer le maximum de profit en alimentant toute la chaîne (pseudo recherche, médecins, pharmaciens, industrie pharmaceutique).
 
Ce système ne fonctionne que lorsque les patients sont innocents…et il semble que cette catégorie de patients soit devenue impatiente !
 
Patients impatients, n’avalez plus n’importe quoi, réfléchissez et ne donnez plus d’argent à des organismes qui ne produisent aucun travail de recherche efficace ! Il faut des résultats rapides, simples et peu coûteux !
 
Et méditez ceci:
 
Avant Copernic, il était évident que la terre était le centre de l’univers.
 
Jusqu’à Nikola Tesla et Thomas Edison, il était évident qu’on s’éclairerait toujours à la bougie (suite au commentaire judicieux d’un lecteur, je tiens à rendre hommage à Nikola Tesla, chercheur génial qui jugeait qu’une découverte scientifique devait servir à l’humanité sans suivre automatiquement le chemin financier qui motivait Thomas Edison) (13)
 
Jusqu’à sa mort, il était évident que Van Gogh n’avait aucun talent.

Références:

(1) Sudan BJL : Contribution à l’étude du rôle allergénique de la fumée de tabac. Le tabac : un allergène, la nicotine : un haptène, Allergie et Immunologie, 1978, 10, 36-54.
(2) Davenas E, Beauvais F, Amara J, Oberbaum M, Robinzon B, Miadonna A, Tedeschi A, Pomeranz B, Fortner P, Belon P,  Sainte-Laudy J, Poitevin B & Benveniste J: Human basophil degranulation triggered by very dilute antiserum against IgE, Nature 333, 816 – 818, 30 June 1988.
(4) Maddox J. When to believe the unbelievable. Nature, 333, 6176, 787, 1988.
(6) De Pracontal M. Les mystères de la mémoire de l’eau. Editions La Découverte. Paris , 1990.
(9) Abelin T, Buehler A, Müller P, Vesanen K, Imhof PR. Controlled trial of transdermal nicotine patch in tobacco withdrawal. The Lancet. 1989 Jan 7;1(8628):7-10.
(10) Sudan BJL. Transdermal nicotine and placebo. The Lancet, 1989 Feb 11;1(8633):334.
(12) Lance Pierre: Savants maudits, chercheurs exclus. Un réquisitoire implacable contre la « nomenklatura » scientifique. Volume 1, Guy Trédaniel Editeur, 2003.
(13) Lance Pierre: Savants maudits, chercheurs exclus. Des découvertes interdites pourtant utilisables et efficaces…notamment dans le domaine de la santé ! Volume 2, Guy Trédaniel Editeur, 2005.
(14) Lance Pierre: Savants maudits, chercheurs exclus. Des découvertes interdites pourtant utilisables et efficaces…notamment dans le domaine de la santé ! , Guy Trédaniel Editeur, 2006.
Bernard SUDAN
Bernard SUDAN

Ex Chef de laboratoire en toxicologie et pharmacologie LabHead Ciba-Geigy, CIBA, Novartis, Bâle, 1975-2006 Research Nicotine as a hapten in seborrheic dermatitis, The Lancet, British Medical Journal, British Journal of Dermatology, Food and Chemical Toxicology, « Nicotine and Immunology » in Drugs of Abuse and Immune Function Ronald R. Watson ed.

https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Sudan
https://www.dermiteseborrheique.net

https://www.bernardsudan.net/

https://www.youtube.com/channel/UCeQB3vdsKeZU-E0zORZr0vQ?view_as=subscriber

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/110720/dermite-seborrheique-et-fiasco-de-la-recherche-en-dermatologie

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/170818/de-1887-2020-l-effondrement-du-dogme-de-la-dermite-seborrheique

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